Cadeaux à gagner
150 peluches "Butagaz"
Principe FACEBOOK
Laissez vos coordonnées + Instants gagnants. Vous devez posséder un compte Facebook pour participer. Vous pouvez jouer tous les jours.
Conditions
Le concours est ouvert à toute personne résidant en France
perdu e tbravo aux gagnants
j'ai perdu, mais il dit " retente ta chance demain" !!!! chouette j'ai encore une chance de reperdre !!!!! pfffffffff
Oh ais quelle surprise : Vous avez perdu :))
Que 3 demons gagnants sur 150 peluches?
je suis de ton avis alhomega mais elle me ait rire
Je joue, mais trouve que cet ours a une sale tronche !
Il semble prêt à mordre !
LOL
jai gagné une il y a2 ans et recu elle mesure 15 cm si cest encore la méme.
Gagné à 6h05 merci
gagnée !!!!
Super!!!!!!!!!!!!! j'ai le droit de rejouer demain, c'est toujours ça.
PETIT VEINARD .°P
Gagné à l'instant !
pala66 tu as mal lu le reglement:
à l'exeption du personnel salariée
de la ste organisatrice
y a pas d'interdiction pour le personnel faut lire le reglement toute personne majeur a le droit.
Ah oui ! C'est fort, ça !
Le personnel d'une boite a le droit de jouer aux jeux de cette boite ?
Gagnante du 11/10 : Elisabeth de Butagaz...
J'hallucine là...
on en veut pluche
elle est vraiment bonne elmer31
moi de même ...
perdu aussi
perdu...
perdu snif
perdu;;;
je vs le laisse , pas de jeu / facebook
perdu..
snif-snif...perdu
perdu
Profitant de l'absence de son mari en voyage d'affaires, une femme a fait venir son amant chez elle. Et voilà que vers minuit, une clé tourne dans la serrure.
- Ciel, mon mari ! s'écrie-t-elle. Il ne devait rentrer que demain soir...
- Où est la porte de service ? demande l'amant en se rhabillant précipitamment.
-Il n'y en a pas, répond la femme, affolée. Viens vite dans la chambre du gosse, je vais te cacher dans le placard à jouets...
Sitôt dit, sitôt fait. Il était temps, car quelques secondes plus tard, le mari rejoint son épouse, qui lui dit combien elle est heureuse qu'il ait pu rentrer plus tôt que prévu.
Les lumières s'éteignent, la maison retombe dans le silence. C'est alors que le petit garçon se lève, va vers son placard à jouets, et frappe à la porte en disant :
- Je voudrais mon nounours.
Pas de réponse.
- Je sais qu'il y a quelqu'un. Donne-moi mon nounours.
- Je ne peux pas ouvrir de l'intérieur, murmure une voix étouffée.
- Moi, je ne peux pas dormir sans mon nounours ! Alors donne-moi dix euros.
- Ça va pas ? Petit salaud !
- Bon, je vais chercher papa. Il ouvrira le placard et il me donnera mon nounours...
- Ne fais pas ça, petit salaud ! Attends...
Et un billet de dix euros glisse sous la porte.
Une demi-heure plus tard, le gosse se relève.
- Je ne dors toujours pas...
- Je m'en fous.
- Très bien. Je vais chercher papa, et il va me donner mon nounours.
- Fais pas ça, petit salaud !
- Alors, je veux vingt euros.
- Tiens, les voilà ! grommelle l'autre en glissant le billet sous la porte, mais c'est fini, je n'ai plus rien sur moi.
Le gamin se recouche et s'endort.
Le lendemain il part à l'école, le mari au bureau, et la femme libère l'amant. Mais voilà qu'en classe, l'après-midi, le petit garçon a un cours de morale. Sujet : le chantage. Il en sort livide, en se disant qu'il a fait quelque chose d'épouvantable, et va droit à l'église pour se confesser. Agenouillé dans le confessionnal, il commence ainsi :
- Figurez-vous, mon père, que je ne peux pas dormir sans mon nounours...
Le curé l'interrompt :
- Encore toi, petit salaud !