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15 romans au choix : Celui dont le nom n'est plus de René Manzor ou Le voyage de Nina de Frédérique Deghelt
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15 romans au choix : Celui dont le nom n'est plus de René Manzor ou Le voyage de Nina de Frédérique Deghelt
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merci zfp645 :-)
j'ai choisi le premier, et oui je fais partie de ces trouillardes qui aiment avoir peur (modérément) en lisant des thrillers épouvantables (mais pas trop) lol
Merci zfp645!
Pour vous aider à choisir, au cas où :
Celui dont le nom n'est plus
Amour, Amor, la mort, sont des mots cousins. René Manzor, auteur de thrillers redoutablement efficaces, a repéré cette similitude. A-t-il écouté, dans le passé, « Je lâaime à mourir » ? La mort, amor, lâamour, si on y réfléchit bien, sont des mots dédiés à lâéternité. Aimer, câest mourir intérieurement, câest sâen remettre à lâabsolu, et finalement à lâéternité. Lâécrivain et cinéaste René Manzor (on trouve AMOR dans son nom, et la renaissance dans son prénomâ¦) nâest pas un amoureux du cinéma pour rien : quand on lit « Celui dont le nom nâest plus », on va au cinéma ! Manzor multiplie les clins dâÅil aux codes des thrillers pour notre plus grand bonheur de trouillards (les trouillards sont ceux qui aiment avoir peur en lisant des thrillers épouvantablesâ¦)
Accrochez-vous : Londres, au petit matin. Sur une table de cuisine, gît un homme vidé de ses organes. Lâassassin est une vieille dame à la vie exemplaire. Pourquoi cette femme a-t-elle sacrifié lâhomme quâelle a élevé comme un fils ?
Elle est incarcérée. Pourtant, le lendemain, un autre homme est tué de façon similaire. Par la personne qui lâaimait le plus au monde. à chaque fois, les tueurs, qui ne se connaissent pas, laissent derrière eux la même épitaphe écrite dans le sang de leur victime : « Puissent ces sacrifices apaiser lââme de Celui dont le Nom nâest plus⦠»
Un flic bourru de Scotland Yard va faire équipe malgré lui avec une profileuse américaine (vous voyez, tous les ingrédients sont là â¦)
Si, comme nous, vous aimez les mondes mystérieux, lâésotérisme, lâhypnose et ses limites, les rebondissements incroyables, jetez-vous sur « Celui dont le nom nâest plus ». Ce livre va vous envoûter.
Le voyage de Nina
Nina a 16 ans. Elle sâappelle Nina car ses parents aiment la chanteuse Nina Simone (Nina Simone elle-même admirait Simone Signoret, dâoù son nom dâartisteâ¦). Nina est aimée, par un papa musicien, et une maman artiste-peintre. Ensemble ils vivent sur une péniche. Mais un drame casse soudainement, tragiquement, cette harmonie : les parents de Nina meurent dans un accident dâavion. On confie Nina à ses grands-parents paternels. Un monde sépare la vie dâavant, pleine de musique, dâamour, dâinsouciance, avec la vie de Versailles, où le grand-père, ancien militaire, est strict, conformiste, triste. Aucun lien affectif ne relie Nina à ses grands-parents. Câest désespérant. Lâadolescente décide alors de fuir. Elle souhaite rejoindre en Espagne des amis gitans de ses parents. Nina met ses amis dâécole dans la confidence. Le secret est bien gardé.
Bien sûr on aime tendrement Nina, dans sa fraîcheur, sa naïveté, sa fragilité, mais aussi sa force, son énergie, son pragmatisme. Cette fugue devient une sorte de conte initiatique. Nina fait des faux-pas, par manque dâexpérience. Mais elle semble accompagnée, portée par son amour de la vie, et une forme dâinstinct. Frédérique Deghelt est une merveilleuse conteuse. Son choix dâaccompagner le récit par les plus belles chansons de Nina Simone, nous comble. Nina, nous prions le ciel que tu sois protégée par ta petite étoile. Invisiblement lâamour de tes parents te protège sans doute, infiniment. De là où ils sont, ils vont peut-être tâenvoyer des signes de vie, en rêve par exemple, ou sous une forme poétique ? Câest important la poésie : elle peut te sauver, te relier.