N°56953
18 juillet 2018 à 21:42
VENDS
Deux places pour la 3ème édition du Surgères Brass Festival , pour la soirée de ce samedi 21 juillet à partir de 21h (ouverture des portes: 20h30) au Square du Château , à Surgères (17) , Chapiteau , scène du parc. 25 euros les 2 entrées ( billets indissociables ) au lieu de 77,90 euros. Envoi par mail. (valables tarif adulte tarif plein). Soit une offerte gratuite .
« S’inscrivant dans le dispositif national des festivals labellisés "Réseau SPEDIDAM". En plein cœur de Surgères, dans l’enceinte du Château, les cuivres seront mis à l’honneur pour un rendez-vous incontournable qui favorisera le développement local, en dehors des sites touristiques du littoral. Le programmateur de ce Festival, mariera chaque année dans sa programmation des artistes nationaux, internationaux, mais aussi locaux ou émergents. Une manifestation à la fois populaire et prestigieuse, pour le plus grand plaisir de tous les spectateurs, du passionné de cuivres à l’amateur curieux et sensible. Prog.: MANU DIBANGO & l'Africadelik Band : Touché par la grâce musicale dès ses premières années dans le temple protestant, le petit Manu, entre Paris et Bruxelles, au gré des maîtres qu’il se découvre (Armstrong, Ellington, Young, Parker...), des errances dans des lieux où le Jazz déchire voluptueusement les nuits, et des rencontres de hasard, va se forger une âme de musicien.
Quand, dans l’effervescence de l’Afrique des indépendances, le grand chanteur Kabasele débarque du Zaïre à Bruxelles et lui propose de rejoindre son groupe “L’African Jazz” pour jouer la musique congolaise, Manu relève le défi. Il participe alors à une quarantaine de disques, puis en tournée du côté de Kinshasa. Un étape déterminante. BCUC & JOWEE OMICIL : Originaire de Soweto, ce groupe afro-psychédélique mélange rythmes ancestraux et expression moderne, teintée de rock ou de hip-hop, pour créer un son distinctif, si volontairement rebelle qu’il rebute toute étiquette. L’instrumentation du groupe évolue constamment au fil de leurs longs morceaux qui peuvent s’étendre jusqu’à 20 minutes : une basse terrienne, des percussions hypnotiques, des sifflets, des flûtes, soutiennent des voix fortes d’hommes et de femmes… Leurs messages concernent la réalité quotidienne en Afrique du Sud, le travail précaire, la corruption. Leur musique est aussi forte, confiante et intense que l’intention qui la motive.
»
Proposé par 3alex1
vous devez être inscrit et connecté sur votre compte pour commenter ce jeu. Le site est 100% gratuit alors n'hésitez pas !
A partir de 5 votes, un commentaire est plus visible. Vous pouvez citer un membre en écrivant @pseudo afin que ce dernier reçoive une notification